Formation

Il est difficile de chercher des informations sur le métier de sommelier tant elles sont éparpillées et très peu d’indications sur cet emploi sont disponibles dans les ouvrages généraux sur le vin. Les informations sur le sommelier que l’on trouve sur internet sont postées pour la plupart par des passionnés de vins ou même des professionnels. Nous pouvons donc douter de certaines informations ; néanmoins certains sites internets se complètent, les informations se croisent et nous parvenons à nous informer. Pour véritablement trouver des informations, il faut réaliser des recherches plus complètes, aller sur le terrain et se renseigner auprès de professionnels. Nous pensons donc que le métier de sommelier est un métier qui se distingue peu, contrairement au métier de caviste par exemple. C’est un corps de profession qui ne cherche pas de véritable reconnaissance afin de conserver une image de marque. La situation semble paradoxale. La sommellerie est un métier rare : c’est une branche spécifique de l’hôtellerie et le fait qu’un jeune se dise « Je veux devenir sommelier » est peu courant, car quand on pense aux métiers du vin, on pense plutôt aux métiers comme vigneron ou oenologue. C’est ce qui fait une force, sans doute, du sommelier qui leur permet de garder une exclusivité dans leur profession. Le sommelier intrigue car au-delà de la profession en elle-même, elle peut s’apparenter à un art. L’accès aux études n’est néanmoins pas difficile pour les jeunes. Il existe deux types de formations : les formations publiques et les formations privées.

Au terme des études, un jeune sommelier peut prétendre à une reconnaissance sur la scène internationale de la viniculture. Il existe des concours qui permettent d’opposer les meilleurs sommeliers d’une région, d’un pays ou du monde.

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