Harlem Shake. D’où ça sort ? Rien à voir avec le quartier de Manhattan en tout cas. Si déjà le terme ne te dit rien, la musique du même nom (tiens donc…) composée par Baauer, doit te rappeler quelque chose (si tu n’as pas passé le dernier mois dans une grotte).
Harlem Shake. D’où ça sort ? Rien à voir avec le quartier de Manhattan en tout cas. Si déjà le terme ne te dit rien, la musique du même nom (tiens donc…) composée par Baauer, doit te rappeler quelque chose (si tu n’as pas passé le dernier mois dans une grotte).
Le principe du Harlem Shake est simple : un groupe de personnes se filment en train de danser de manière la plus bizarroïde possible sur cette musique, déguisé si possible, pendant une trentaine de secondes.
Le « buzz » débute le 2 février quand cette vidéo est postée. Elle est très vite reprise par des centaines de milliers d’afficionados. Même le site de Youtube et de Champollion s’y sont mis !
Et en exclusivité, Papyrus, te livre la recette secrète pour un Harlem Shake bien réussit :
- – Prendre un bonhomme au visage masqué, le faire danser seul au milieu de personnes complètement indifférentes ;
- – Insère un soupçon de « kon-lo-té-ro-ris-ta » (ou Con los terrosistas pour les Spanish)
- – À cela, ajoute le signal de départ « Do the Harlem Shake » pour que la « Saturday Night Fever » ensorcelle toute la pièce
- – Remue tout ce beau monde qui danse de la façon la plus énergique et acadrabrantesque possible en mettant son amour propre de côté (point important)
- – Le tout pas plus d’une trentaine de secondes.
Voilà : un Harlem Shake bien frais (ou plutôt chaud)
En attendant un grand Harlem Shake à Champollion, certains Historiens dont je terrais les noms n’ont pas attendu mon article pour s’adonner à leur nouvelle passion (voir la vidéo ci-dessous)
Merci à Robin, Paco, Jeff, Mika, Julien et Thomas pour cette vidéo (oups !)