Après un passage à Albi il y a 3 mois à l’occasion du festival Électrolyse, la plus brésilienne des parisiennes a rendu visite à nos voisins aveyronnais à l’occasion du complot sur le campus made in Rodez.
Après un passage à Albi il y a 3 mois à l’occasion du festival Électrolyse, la plus brésilienne des parisiennes a rendu visite à nos voisins aveyronnais à l’occasion du complot sur le campus made in Rodez. Quand je suis arrivé (très en retard), après 1h d’apéro en attendant la navette, les troupes étaient bien décidées à retourner la nouvelle salle des fêtes !
Élisa était déjà aux platines, regard sur le public. Comme à son habitude elle était en plein échange de sourires jusqu’aux oreilles avec les festivaliers, qui s’étaient déjà placés en première ligne et avaient déjà calés leurs pas et autres mouvements de tête sur le beat de la Drum N’ Bass. Le public était présent mais je trouve que la salle n’était pas très adaptée à ce complot … autant personne n’aime être serré comme une sardine, autant faire un concert dans un hall de gare n’est pas des plus convivial. À ma surprise notre « DJ’ette » était seule ; alors qu’elle avait l’habitude, ces derniers temps, de se faire accompagner par sa maîtresse de cérémonie préférée Miss Trouble, qui a largement participé à son deuxième album. Après la partie « live » ( qui l’était beaucoup moins sans MC ) où Élisa nous a fait (re)découvrir son deuxième album et a fait retentir ses classiques tels que « No Coincidence » ou « Diabolo Fraise » ; la star du soir est restée pour une seconde partie plus « DJ set » où elle nous a fait sauter entre les rythmes du Dubstep et de son style de prédilection, la Drum N’Bass.
Pour mon troisième concert d’Élisa do Brasil je dirais qu’il faut retenir qu’elle ne perd pas la fraicheur et le sourire qui la caractérisent, on ne s’en lasse pas !