[SCI le monde m’était conté] J’y suis, j’y reste

SCI le monde m’était conté, c’est le nom de code du projet web des étudiants du master Stratégies Culturelles Internationales, actuellement en stage aux quatre coins du monde … exepté pour Sandrine, qui a préféré resté Albi pour un stage au service relations internationales de l’Ecole des Mines.

SCI le monde m’était conté, c’est le nom de code du projet web des étudiants du master Stratégies Culturelles Internationales, actuellement en stage aux quatre coins du monde … exepté pour Sandrine, qui a préféré resté Albi pour un stage au service relations internationales de l’Ecole des Mines.

J’y suis j’y reste

Après quelques années passées sur le continent sud-américain, j’ai décidé de revenir dans mon pays natal pour faire un break et me replonger dans les études, ce qui m’a conduit à Albi et au master SCI.
Dans la perspective de retravailler en France, c’est tout naturellement que le choix d’un stage ici s’est imposé.
Ainsi, si la plupart d’entre nous ont choisi d’explorer de lointaines contrées, j’ai opté pour « la destination » (je parlerais plus volontiers de lieu de stage d’ailleurs !) beaucoup moins chargée d’exotisme: Albi

Un stage à l’école des Mines…

L’école des Mines n’a pas été une découverte pour moi, du moins en ce qui concerne le lieu puisque j’y avais enseigné le français aux étudiants étrangers depuis l’été dernier.
Maintenant, je suis plutôt côté logistique, à l’accueil des étudiants et l’organisation des cours d’été, un aspect du travail qui fait partie de la DAI.
La DAI, c’est la Direction des Affaires internationales, service que j’ai intégré il y un peu plus d’un mois maintenant aux côté d’une petite équipe composée du directeur Radu et de son assistante.

Ce premier mois a été en quelque sorte une phase d’adaptation ou je me suis employée entre autre, à connaître un peu mieux l’organisation et le fonctionnement du service et de l’école en général car même si nous sommes trois dans le service, l’école ne compte pas moins de 250 salariés. Un fait nouveau pour moi qui n’avait fréquenté jusque-là que des petites structures.
Il a aussi fallu que je me familiarise avec une kyrielle d’acronymes qui retentissent comme une langue étrangère quand ils sont employés en nombre dans les conversations et qu’on n’en connaît pas la teneur.
Pour l’instant, mon travail est plus lié à la partie communication tel que la mise à jour du site internet, élaboration d’une plaquette de présentation de l’école etc…
Les semaines s’écoulent avec des journées plus intenses que d’autres mais somme toute à un rythme très « administratif » qui est d’autant plus marqué le vendredi où il règne un silence de plomb dans les couloirs à partir de 15 h voire même avant !

Travailler en RI c’est administratif certes mais la dimension internationale permet de s’évader un peu aux quatre coins du monde grâces aux étudiants, les divers contacts avec les partenaires ou les colloques – comme MexFitec (rencontres inter universitaires dans le cadre de la coopération scientifique France- Mexique) – auxquels j’ai eu l’occasion de participer courant mars.

« Albi ville, ici Albi ville »

Mon quotidien n’a guère changé depuis, rythmé par des allées et venues hebdomadaires à Toulouse où je passe mes weekends.
La gare est certainement le lieu qui m’est le plus familier à Albi et pas forcément le plus accueillant et représentatif de la ville ! Pour le reste, je pense que beaucoup d’entre vous connaissent certainement mieux que moi mais comme les beaux jours sont enfin là, j’en profiterai pour découvrir un peu plus la ville et les alentours…