Karine, Chaire UNESCO « Sauvegarde et valorisation des Patrimoines Culturels Alimentaires »
J’ai fait une licence d’Histoire à Albi puis un master Histoire et Cultures de l’Alimentation, à l’Université François-Rabelais de Tours. Après mon master, j’ai fait un stage dans l’Équipe Alimentation, au laboratoire de recherche affilié au master, et ensuite, j’ai été embauchée par la Chaire UNESCO « Sauvegarde et valorisation des Patrimoines Culturels Alimentaires ».
Le master que j’ai fait permet de mutualiser les connaissances et les spécialités de trois pôles universitaires reconnus à l’échelon européen. À Tours, les cours sont dispensés par les enseignants – chercheurs de toutes les universités partenaires du master (M1). En M2, les étudiants suivent une partie de leur cursus à Tours, à Bologne, Barcelone et Bruxelles. Ces mobilités, étudiante et enseignante, contribuent ainsi à former une véritable Europe de la connaissance et de la Recherche. L’intérêt de ce master est d’offrir aux étudiants européens et extra européens une formation d’excellence, qui repose sur des compétences reconnues par l’ensemble de la communauté scientifique. Le master repose sur des approches identiques (pluridisciplinarité avec le regard de l’Histoire, de la sociologie, de l’anthropologie, de la géographie, etc. ; vision diachronique ; ouverture sur le monde professionnel grâce à un stage qui est intégré à la formation) et un socle commun de connaissances.
J’ai choisi l’université d’Albi pour la licence car elle est à taille « humaine », ce qui facilite les études, on peut avoir accès facilement aux professeurs qui sont disponibles car il y a moins d’étudiants, on peut aisément trouver une place en TD et les locaux sont neufs / en bon état.
La licence d’Histoire m’a apporté des bases solides, notamment en méthodologie et en recherche et un apprentissage autonome.
Elle m’a permis également avec l’encadrement des enseignants à m’engager dans un master qui a lui-même débouché sur un travail.
Je suis entrée dans le master sans idée précise de carrière, les aides et conseils des enseignants ont été utiles dans mon choix de master selon mon parcours et mes envies. J’ai rencontré des difficultés dans les études mais comme tout le monde… La licence d’Histoire à Albi est intéressante car nous sommes un petit nombre en cours (35) et cela permet aux enseignants de mieux nous encadrer mais cela veut aussi dire qu’ils nous connaissent … Il y a parfois plus d’attente aux résultats mais c’est une bonne motivation.
Je n’avais aucune idée de ce que je voulais faire et c’est la professeur d’histoire contemporaine qui m’a indiqué un master qui correspondrait à mes attentes et à mes choix de carrière.
Je serais volontiers restée à Albi mais il n’y a que Tours qui propose une formation en Europe sur le thème de l’Alimentation et je souhaitais m’insérer dans ce parcours. Mais si la formation avait été disponible à Albi j’y serais restée.