Milène, professeur documentaliste
J’ai fait un Bac S puis ma licence à l’Université de Champollion à Albi et je suis actuellement deuxième année de master à Toulouse. Je travaille en alternance avec le lycée Pierre de Fermat en CDI après avoir réussi mon CAPES l’année dernière.
J’ai choisi l’université Champollion parce que je suis d’origine albigeoise. L’université de Toulouse est assez grande alors qu’il était plus rassurant de rester à Albi et plus économique. L’avantage de l’UC passe par les relations tant d’étudiants à étudiants, que de prof à étudiant, ce qui permet de meilleures relations pour après. Les profs sont aussi encadrants.
L’histoire me paraissait un domaine assez général et je pensais que cela allait m’ouvrir différentes perspectives parce c’est une formation qui apporte de la culture générale. Mon master est très différent de l’Histoire, mais durant ma licence, j’y ai appris la rigueur et à être autonome, ce qui est très utile pour passer les concours.
Je savais qu’il y avait plusieurs débouchés après la licence d’Histoire car je m’étais bien renseignée. J’envisageais peut-être de travailler dans le patrimoine ou de faire un master en Sciences politiques. Finalement, c’est un master MEEF. Je n’ai pas rencontré de difficultés dans la formation : le TER archives, qui est une Unité d’Enseignement en troisième année de licence, a confirmé ma volonté de ne pas faire de la recherche, et même si mon master est différent de ma formation initiale en licence d’Histoire, la difficulté a été plus dans le choix du master que dans les cours ou le passage de la licence au master.