Anaïs, Master MEEF.
J’ai débuté une licence d’histoire avec une mineure en Lettres Moderne. Pour la troisième année, j’ai changé de mineure et j’ai pris « Vers les métiers de l’enseignement » car cela correspondait à ce que je souhaitais faire plus tard, c’est-à- dire professeurs des écoles. J’ai obtenu ma licence en 2014 et j’ai poursuivi mes études en faisant un master MEFF premier degré à Vannes. J’ai validé ma première année mais je n’ai pas eu le concours. Je suis donc de nouveau en M1 non diplomé et j’assiste uniquement aux cours qui sont en lien avec le concours.
J’ai choisi Champollion car c’était une plus petite structure. En effet, les effectifs sont plus raisonnables. De plus, l’université Champollion est bien plus accueillante qu’une grande université. Les loyers sont aussi moins chers sur Albi que sur Toulouse. Mes années à Champollion font parties des meilleures que j’ai pu vivre, les enseignants sont géniaux, la fac est animée et les amis que je me suis faits durant ces trois années sont très importants pour moi maintenant. Si mon master avait pu être à Champollion, je serais bien restée plus longtemps.
J’ai choisi de faire une licence d’histoire car cela m’a toujours fasciné et parce que pour être professeur des écoles, il faut valider une licence de préférence dans un domaine du concours.
Je dirais que la licence m’a apporté beaucoup de nouvelles connaissances mais surtout une méthodologie de travail et de recherche. Les nombreux oraux que j’ai présentés durant ces trois années ont amélioré la manière dont je m’exprime à l’oral et ma confiance en moi. De plus,ces connaissances me servent énormément pendant mon master, et je pense que c’est un véritable avantage.