En 1785, le conseil politique multipliait les réformes dont les conséquences s’avéraient pesantes pour les villageois (réglementation stricte au niveau de l’utilisation des terres : interdiction de faire pâturer les brebis (car trop consommatrices d’herbe) ; même chose pour la forêt : interdiction de ramasser le bois sans autorisation préalable vers un commissaire spécialement nommé, sévères répressions pour le braconnage,…).
Toutes ces réglementations et pratiques prohibées dès 1785, pouvaient attribuer de lourdes sanctions telle qu’une amende de plusieurs livres et/ou d’une peine d’emprisonnement au château.