Annexe médecins-chirurgiens du Premier Empire

Pierre François Percy
Pierre François Percy

Pierre-François Percy (1754-1825) est un médecin et chirurgien français, il est l’auteur de plusieurs mémoires comme le Manuel du chirurgien d’Armée qu’il envoie à l’Académie de chirurgie (1792). il est professeur de pathologie externe à l’école de santé de Paris dès 1974. Percy a exercé plus de 15 en garnison en particulier sous l’empire où il a servi comme chirurgien en chef de l’armée du Rhin puis de la Grande Armée jusqu’en 1809. Il est également l’inventeur de quelques innovations médicales de son temps.

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Dominique Larrey
Dominique Larrey

Dominique Jean Larrey (1766-1842) est un médecin et chirurgien français, il a participé à toutes les guerres napoléoniennes du siège de Toulon (1794) à Waterloo (1815), il participa à 25 campagnes, 60 batailles, 400 combats et reçu 3 blessures au cours de sa carrière. Chirurgien en chef de la garde impériale il particulièrement populaire en raison de son dévouement total à sa tâche. On lui attribue également l’application sur le champs de bataille de nouvelles méthodes pour secourir les blessé comme des ambulances volantes.

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Nicolas-René Dufriche Desgenettes
Nicolas-René Dufriche Desgenettes

Nicolas-René Dufriche Desgenettes (1762-1837) est un médecin français, il rentre dans l’armée en sa qualité de médecin en 1793 auprès de l’Armée d’Italie. En 1798, il est rattaché à l’Armée d’Orient en tant que médecin chef et doit affronter notamment une épidémie de peste. Il devient inspecteur général du Service de Santé des Armées en 1804. En 1807 il est médecin en chef de la Grande Armée, capturé lors de la campagne de Russie en 1812 il est relâché immédiatement grâce à sa seule renommé. Il participe ensuite à la campagne d’Allemagne et devient médecin en chef de la Garde Impériale. Sous la Première Restauration il déchu de tout poste militaire mais conserve néanmoins sa place à l’hôpital du Val-de-Grâce qu’il a obtenu en 1795 ainsi qu’à la faculté de médecine de Paris. Il rejoint à nouveau Napoléon lors des Cent-Jours et regagne Paris après la défaite où il continue d’exercer par la suite.