En 1864, la Convention de Genève donne une structure légale aux  propositions de Dunant et crée un statut juridique pour l’action humanitaire. C’est la création du Droit International Humanitaire (DIH) qui réglemente l’action humanitaire et permet aux populations de bénéficier d’une aide sans distinction.

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Dans les années 1980, le DIH ne suffit plus à répondre à l’évolution des besoins de l’action humanitaire. Les accusations d’immobilisme dont le DIH a fait l’objet ont entraîné la théorisation du principe d’ingérence humanitaire. Sa création remet en cause les principes moraux établis par les Conventions de Genève.

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Étudiantes: Solène Hollinger, Margot Hanus, Pauline Gausserand