Son radio-réveil poussiéreux, d’une lumière fluorescente, affiche 15:32. Vincent sort péniblement de son sommeil, dépité de voir une heure si tardive, mais toutefois habitué. Seule la caféine pourrait peut-être encore le faire tenir. Le temps où il se réveillait à l’heure où les oiseaux gazouillent, où le givre cristallisé sur les fenêtres laisse pénétrer une… Poursuivre la lecture Préambule