On idolâtre Georges Pérec : on persécute une lettre, on la fait disparaître. Si elle a déjà existé ? Bien sûr que non. On l’oublie, on la jette à la poubelle. Plutôt que de hurler au scandale, partez en vacances : prenez un wagon, dévorez un kiwi, baladez-vous au zoo. Pas la peine de vous arracher les yeux. Détendez-vous, on s’occupe de tout. On se charge de piétiner, d’écrabouiller le son répugnant, perfide, atroce de cette lettre pour laisser la place à d’autres [bip]… phrases. Quoi, ça n’a pas de sens ?
Eli