Générique de fin

Moi, vous savez, je suis plutôt du genre sentimental, du genre à recenser ce qui me touche chez les gens, vous savez, les choses que beaucoup ne remarquent pas, les tics de langage, les sourires en coin. C’est peut-être pour ça que je cherche autant à comprendre pourquoi. Pourquoi l’humain est ce qu’il est.

C’est certainement pour cette raison que ne m’échappera jamais la vision de l’amour avec son grand A qui fleurissent les écrits de Malo, la poésie vibrante d’Elfi.

Les alertes à l’empoisonnement de Paul et ses balades champêtres, les réflexions d’Alizé sur la vie, intenses et insaisissables, mais aussi les mots d’un autre temps – parfois un peu barrés – de WBRSKP.

Sans oublier les références historiques pointues de Julien, les nouvelles touchantes et hilarantes d’Esprit, les textes engagés de Zoé et le voyage en enfance qu’offrent les récits de Maëva.

Avez-vous remarqué l’œil cultivé d’Elea et les textes enveloppants et mélancoliques de Cléa ?

Moi, je retiendrai l’humour et les éclats de rire du Corbeau, les aventures délirantes et enflammées que nous conte Mandy, les textes sanguinolents et zombiesques d’Eli, mais aussi les récits célestes de Lux.

Je remarque la fraîcheur des textes de Clem, l’introspection habitant ceux de Dilith et les remarques pertinentes de Mælusine.

Finalement, je serai notre Amélie Poulain, je soulignerai la gentillesse, l’honnêteté et la valorisation des mots de M. Cabot, la finesse de la plume de chacun et les fardeaux de tous, et puis surtout la profondeur des cœurs.

LLou