Mais pourquoi me martyrises-tu,
Magma mou et merveilleux,
Maculant mes magistrales médailles ?
Mon machiavélisme meurt sous ta mâchoire,
Mâchoire mordante et maudite.
Mauvais machiste qui maltraite
De ton misérable micropénis,
Macroniste malléable qui métamorphosa
D’un maelstrom le MoDem
De ta menteuse mafia.
Maudit macho, mafieux magouilleur de magasin,
Les manuels ne manqueront pas
De te mentionner, maboul.
Je me meus au milieu
De macchabées macabres,
Mûre comme la mort.
Tes magouilles mènent
A la mutilation de nos mœurs,
Médisances et miséricorde.
Elles meuglent de maladie,
De misère.
Le monde me malmène.
Mon martyre masculinisé
Se matérialise.
Je mets fin à moi.
Le Corbeau