Bruits de brises blanches, Brouillard bleu baigne les berges, Les barques et Bōsō. Alizé
Étiquette : Alizé
Il ne joue pas le jeu
Ô Temps, sois mon ami et tends avec plaisanceÀ cesser, sans bruit, le fol envol des heures.Tant de jours, à tout jamais, qui s’oublient et meurent,Te laissant insensible à cette folle danse. Je rêve tant d’une trêve dans la cadence.Joue et feins d’alentir tes minutes, tes heures !Des effets, méfaits, faits à tes souffre-douleur,Compter, tu… Poursuivre la lecture Il ne joue pas le jeu
Nuit sonnée
La Nuit, à pas de velours, sonne la douce ombre, Divine et drapée de sa robe qui scintille D’un infini éclat de feu fragile oscille Au gré d’une brise agile dans les cieux sombres. Mystérieuse muse de Morphée encombre Le monde, dansant avec Lune, ô douce idylle, Le bruit et le soleil sont désormais tranquilles,… Poursuivre la lecture Nuit sonnée
Suffoquer
Ô Solitude ! Solitude d’une âme dans le coin d’une pièce, engloutie par l’obscurité de ce lieu singulier, exigu. La sensation est si palpable qu’elle en devient écrasante, à tel point que je peux toucher la noirceur, la sentir, la ressentir, m’en vêtir. Où suis-je ? Je ne comprends pas. Je dormais, tout allait bien,… Poursuivre la lecture Suffoquer
Asahi to komorebi
(Soleil levant et attachement à l’esthétique naturelle) Dans la nuit vaporeuse, une douce quiétude règne. En forêt, une atmosphère saisissante s’installe. Un sentier ondulant, Des lumières jonchant La plénitude de cette fabuleuse escale. Des arbres se présentent, Les feuilles virevoltent, Libres de jouer, de danser au gré du vent. Elles peuvent, si tel est leur… Poursuivre la lecture Asahi to komorebi
Tuto torture
Acte x, scène inconnue L’action se déroule dans une chambre, dans une vraie chambre ou… est-ce-vraiment une chambre, n’est-ce-pas plutôt une scène ? Un individu, au bout du rouleau, est avachi sur son lit. Il regarde sur son téléphone. L’Individu – Je suis avalé par mon lit. J’en peux plus. Enfin le repos ! Mais… Poursuivre la lecture Tuto torture
Dédale
Pas à pas, cœur contre cœur, Ne soyons plus ces oiseaux enfermés. Libérons-nous de cette cage Et brisons les chaînes futiles de la vie. Rêvons de l’indescriptible, nous le méritons. Évadons-nous, encore et encore. Atteignons les nuages au coton soyeux… M’entends-tu ? Es-tu là ? Où es-tu désormais ? Je regarde, là, ici et là-bas… Poursuivre la lecture Dédale
Rimbaud Frédy le père
On dit que Jean Nicolas Arthur Rimbaud, né à Charleville – enfin Charle… quelque chose, je ne me souviens plus exactement, peut-être Charles-City, ou Chambéry ? – le 20 octobre 1854, fils de Frédéric Rimbaud, adorait son père. On ne sait s’il le vénérait, mais son père semblait avoir répandu la félicité sur sa famille ;… Poursuivre la lecture Rimbaud Frédy le père
Eau de H2O, parfum de Paco Astro
Plus haut que moi, toujours plus haut que moi se trouve de l’eau en constante suspension. C’est toujours le regard levé que je la vois. Telle qu’elle advient au nuage puis en tombe goutte par goutte, devenue une entité à part entière de ce nimbus, comme une altération de celui-ci. A la fois ruisselante, brumeuse… Poursuivre la lecture Eau de H2O, parfum de Paco Astro
Une solution ?
On ne sait que faire… mais que dois-je écrire ? Remarque, même interrogation, originale ! Le temps apporte ses pronostics : tic-tac, tic et tac frénétiques, écrasants. Entre deux, il va de l’avant, passant sous notre nez avec empressement, vivacité, fougue, hâte, identique à une bourrasque. Qu’entreprendre dorénavant ? Avant les vacances, nous était imposé… Poursuivre la lecture Une solution ?