Rimbaud Frédy le père

On dit que Jean Nicolas Arthur Rimbaud, né à Charleville – enfin Charle… quelque chose, je ne me souviens plus exactement, peut-être Charles-City, ou Chambéry ? – le 20 octobre 1854, fils de Frédéric Rimbaud, adorait son père. On ne sait s’il le vénérait, mais son père semblait avoir répandu la félicité sur sa famille ;… Poursuivre la lecture Rimbaud Frédy le père

Eau de H2O, parfum de Paco Astro

Plus haut que moi, toujours plus haut que moi se trouve de l’eau en constante suspension. C’est toujours le regard levé que je la vois. Telle qu’elle advient au nuage puis en tombe goutte par goutte, devenue une entité à part entière de ce nimbus, comme une altération de celui-ci. A la fois ruisselante, brumeuse… Poursuivre la lecture Eau de H2O, parfum de Paco Astro

Une solution ?

On ne sait que faire… mais que dois-je écrire ? Remarque, même interrogation, originale ! Le temps apporte ses pronostics : tic-tac, tic et tac frénétiques, écrasants. Entre deux, il va de l’avant, passant sous notre nez avec empressement, vivacité, fougue, hâte, identique à une bourrasque. Qu’entreprendre dorénavant ? Avant les vacances, nous était imposé… Poursuivre la lecture Une solution ?

Le Corbeau et la Chouette

Maître Corbeau, sur un mur du lycée, Tient en son bec sa Marlboro. Maîtresse Chouette, à l’âme aiguisée, Cause en son beau parler oiseau : « Bonjour, être énigmatique, Vous êtes fort subtil, ô combien sympathique ! Sans mentir, votre vie diurne, Oiseau, Ne ressemble à votre manteau. Vous êtes le phénix cendré de cet endroit… Poursuivre la lecture Le Corbeau et la Chouette

Eaux impétueuses

Océan de sentiments, Tu t’agites quand tempête approche. Tourments en vagues déchaînées, Vous envahissez à grandes crues ces âmes, Âmes épuisées qui voguent sans fin, Esprits empreints d’un trop grand fardeau Qui atteignent un abysse profond Pour ne jamais en ressortir. Vie sentiente, pas si aisé d’être éponge. Aquosité qui inonde, Une goutte de trop… Poursuivre la lecture Eaux impétueuses

Le firmament est orange comme un pamplemousse

Le firmament, quel beau spectacle à admirer : il peut se transmuter en une multitude de couleurs ! Le ciel surpasse toutes choses sur Terre : c’est lui qui, en notre berceau, nous enveloppe de son drap soyeux, cotonneux, sûr. Ton bleu céleste divin qui magnétise, qui émerveille depuis l’ère des tyrannosaures, Ton teint jaune-orangé… Poursuivre la lecture Le firmament est orange comme un pamplemousse